Production
Notre projet musical enfin achevé, nous pouvons
désormais vous présentez la production finale. Nous allons la comparer à deux autres œuvres
ayant été construites à partir du Nombre d’Or :
le premier mouvement du Concerto pour
Percussion, Célesta et Cordes de Bartok, et le
Prélude BWV 859 de Bach. Ces deux œuvres sont
reconnues dans le milieu de la musique, et nous
pouvons donc à ce titre nous demander si ce que
nous avons fait peut être considérée comme une
œuvre musicale.
Musique pour cordes, percussions et célesta
– Béla Bartok
cliquez ici
Préludes et Fugues BWV 859 – Jean–Sébastien
Bach
cliquez
ici
Vous verrez, il y a beaucoup de différences, sur
tous les points de vus, entre ces deux oeuvres…
C’est normal, car le nombre d’or n’est pas
exploité de la même manière. En ce qui concerne
l’utilisation du nombre dans notre production et
celle de Bartok, si vous avez bien suivi notre
site, vous devriez tout savoir !
Pour vous rafraîchir la mémoire:
Quant à J-S Bach, il utilisait le nombre d’or
dans la conception de la structure de ses
œuvres. Ainsi, dans certaines de ses pièces, il
cherchait à ce que les rapports entre les
différentes parties approchent au mieux la
valeur de la section d’or (1,618). Vous pouvez
en apprendre bien plus sur l’utilisation du
nombre d’or dans les « Préludes et Fugues » de
Bach, en cliquant sur le lien ci-dessous, vous y
trouverez une étude complète et détaillée.
Avis général de notre production
Nous avons
fait écouter notre production à plusieurs
personnes, et notamment à des musiciens, et des
professeurs de musique. Nous avons pu récolter
deux sortes de réponse :
1. On peut
considérer cette production comme de la musique,
à titre de musique expérimentale, ou aléatoire.
Grand nombre d’œuvres du vingtième siècle
sonnent de la même manière, et sont considérées
comme de la musique, alors pourquoi pas
celle-là ?
2. On ne peut
considérer cette production comme de la Musique.
La Musique est avant tout une esthétique qui a
évoluée à travers les âges, mais elle reste un
moyen d’expression des sentiments. Or cette
production ne laisse pas transparaître l’idée
qu’elle véhicule, ni ce qu’elle veut
transmettre. On ne voit pas à quelle fin elle a
été composée si on ne connaît pas tout le
travail mathématique qu’il y a derrière.
Voilà donc notre conclusion générale, et nous
vous laissons maintenant la liberté de décidez
par vous-même si vous considérez cette
production comme de la musique, ou si la seule
utilisation des mathématiques ne permet pas de
« composer » au sens noble du terme …
Et
donnez nous votre avis sur notre œuvre en nous
écrivant par email
nous
contacter
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